Poèmes by moi

Bon ben voilà le premier poème que j'ai retrouvé... Quand il n'y a pas de titre, proposez pasque je suis sans idée ^^"
Enjoy



Je suis là,
Je tape contre la glace,
Mais tu ne me vois pas.
Entend-moi, fais moi grâce !

Je suis ton reflet,
Et toi, mon amie, le mien.
On s'entendait si bien…
Mais le temps a vite passé
Et à présent tout s'écroule.
Sous le poids du chagrin je croule.
Nous descendons en enfer,
Tout a une fin, même notre petite guerre.

J'aimerai t'hurler que je t'aime
Si je savais que tu m'entend
Hélas le silence est de crème,
Et j'hurlerai pour le vent.

Mon amie, ma sœur de cœur,
Est ce vraiment notre heure ?
Je ne saurais le dire,
Je ne saurais pas l'écrire.

La cloche sonne,
Est ce pour nous ?
Ou pour l'homme précédent, John ?
Serons-nous sous les verrous ?

Nous sommes si semblables,
Jugées comme des idiotes,
C'était pourtant si probable !
C'est notre vie que l'on grignote.

Pourquoi jugez-vous les gens ?
Vous n'avez pas le droit, pas tous les temps !
Vous le faites avec cette haine experte
Et vouloir vous l'expliquez est une perte.

Et d'un deuxième...

Je vous hais tous

Je vous hais tous,
Pour ceux que vous avez brisé,
Ceux qu'vous avez abandonné,
Je vous hais tous.

Je hais le monde,
Pour n'pas lui avoir tendu la main
Alors qu'elle en avait tant besoin,
Ma colère gronde.

Je vous hais tous,
Parce que je ne comprend pas,
Parce que je souffre de ça,
Je vous hais tous.

Je vous hais tous,
Je ne sais pas pourquoi
Mais j'vous hais tous,
Il t'ont fais mal à toi

Pourquoi tout ça ?
Tu ne sais pas ?

J'vous hais tous,
Comme vous nous avez brisés,
Vous nous avez humiliés,
J'vous hais tous.

oooooh......

hum ^^" Je vais trouver les autres

Voler dans le ciel de son avenir

Je vois avec tristesse et envie,
La belle hirondelle,
s'envoler à tire d'ailes,
En poussant son joyeux cri.

Pourquoi suis-je clouée au sol,
Et condamnée à voir les oiseaux danser
Dans le ciel et dans mes espoirs avortés.
Pourquoi ai-je cette muserolle ?

Mes rêves et mes pensées s'effritent
Sans que je puisse rien y changer.
Pourquoi la liberté me refuse-t-elle cette fuite ?
Pourquoi veut-elle, de moi, se venger ?

Mon cœur se brise et ma rage grandit,
Qu'ai-je fais, innocente enfant que je suis,
Pour être ainsi privée de ce qui m'appartenait ?
Quelle sorte de vengeance vais-je écouler ?

Ma vie se meure
Et, il grandit, ô lui mon malheur !
Je voudrais un tant soit peu de bonheur
Pourquoi me refuse-t-on cette fleur ?

Des années ont passées ;
J'ai payé la dette inconnue,
Rendez-moi mon dû !
Je n'ai que trop patientée.

J'ai compris à présent que jamais
Vous ne me le rendrez.
Je suis condamnée
A regarder les autres voler.

Essayer une fois, je vous dit
Vous en serez surpris.
J'ai battu des bras, fais un plongeon.
Le dernier de ma vie, le seul de mon triste fond.

Un très vieux... Inulgeance ^^"

Sans titre

Tout le monde croyait le connaître mais il n'en n'était rien,
Cela allait beaucoup plus loin,
Pas d'amis véritables, de nombreux ennemis,
Mais qui croyait prétendre connaître ses ennuis ?
Beaucoup de gens.
Mais qui le savait vraiment ?

Il était malin,
Savait être coquin,
Mais jamais malsain.
Cela lui allait bien

Il lisait beaucoup,
Car là il n'y avait ni violence ni coups,
Il aimait apprendre,
Car il avait des comptes à rendre

Mais au fond de lui, ça bougeait.
Son côté sombre le voulait, s'agitait.
Et bientôt, il allait se rebeller, se lever,
Et dans le noir son monde serait plongé

Mais il restait une lueur d'espoir,
Lueur vivant dans le désespoir,
Se battant bravement contre l'illusion,
Avec l'aide de la désillusion

La frontière entre le rêve et la réalité,
La folie et la clarté,
Est si fine qu'elle est facilement dépassée.
Et si il la franchissait...

Si seulement on arrêtait de se servir de lui,
Alors il ne tomberait pas dans ce puit,
Mais il est, pour tous, un objet.
Mais il a des sentiments et le cœur brisé.

J’aurais du m’en rendre compte,
En fait, entre nous c’est pas possible,
Même si ça en devient presque risible,
Maintenant j’ai vraiment honte.

Qu’est ce que j’ai cru ?
Pourquoi j’ai espéré
Connaître l’amitié ?
En fait, c’est tout vu.

En fait qu’on soit gagnant ou perdant,
On finit tout seul
Comme un vieux tilleul
Planté loin d’tout ses vieux jours faisant.

Au final, vieux, pourquoi,
Pourquoi se battre pour ça ?
Espérer trouver sa voie ?
Au résultat, voilà quoi !

Faut pas se voiler la face,
Au fond de moi ça me tracasse,
Mais on reste deux perdants,
Sans le moindre gagnant.

Ca sert à rien de regretter
Le temps passé
Au bout ce qui est fait est fait.

Finalement, faut que j’assume,
Mon expérience nous a coûté cher,
Même si nous deux sommes de vraies paires,
Tu ne l’as pas supporté.

Je n’arrive pas à oublier…

Je t’aime toujours ma sœurette.

La classe !!

Vraiment très beau !

je suis fier de toi marine allez bisous

Merci

Zoli ^^